Au-delà des aspects stratégiques et commerciaux inhérents aux acquisitions (matières sèches, matières premières, fonds de commerce, prise de participation), à la promotion (création d’étiquettes, de marques, de publicité, développement d’internet) et à la commercialisation des vins (en France, à l’Export ; en vrac, en bouteilles), se cachent quelques finesses juridiques dont l’impact financier potentiellement néfaste doit être connu, anticipé et donc maîtrisé. Un bref aperçu de décisions récentes permet de s’en convaincre et de dégager quelques réflexes juridiques et pratiques pour atteindre cet objectif.